Asp-Ouest-Hérault

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L’ASP Ouest Hérault, association pour le développement des soins palliatifs

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Email : aspbeziers34@live.fr

ASP Ouest Hérault
Espace Perréal, 2 bd Ernest Perréal, 34500 Béziers

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Les matinées de sensibilisation aux soins palliatifs

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ASP communication
lundi, 26 septembre 2022 / Publié dans Information

SENSIBILISATION aux SOINS PALLIATIFS

Que sont les soins palliatifs ?

Voulez-vous devenir bénévole d’accompagnement de personnes gravement malade ?

Aucune expérience préalable n’est nécessaire. Les bénévoles sont sélectionnés et formés par l’association.

 

Samedi 8 octobre à BEZIERS

Espace Perréal – 2 bld Ernest Perréal

de 9h à 12h

OU

Dimanche 9 octobre à SETE

Espace Victor-Meyer/La pierrerie

11 rue du moulin à vent

de 9h30 à 12h30

 

Gratuit

inscription obligatoire

aspbeziers34@live.fr

06.14.04.54.77

Claire Fourcade : « Le débat public doit se fonder sur des données fiables et dénuées de toute instrumentalisation »

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ASP communication
mercredi, 07 septembre 2022 / Publié dans Legislation
Dans une tribune pour le Journal du Dimanche, le Dr Claire Fourcade, présidente de la Société française d’accompagnement et de soins palliatifs (SFAP), répond à Line Renaud et Olivier Falorni qui militent pour « légaliser l’aide active à mourir » dans une tribune parue le 21 août. « Nous souhaitons que le débat tienne compte des faits et de la complexité de décisions et d’actes qui engagent la vie et la mort, et pas seulement des opinions et des émotions », explique le Dr Fourcade qui dénonce un texte qui contient « de nombreuses inexactitudes ou approximations ». « Le débat public doit se fonder sur des données fiables et dénuées de toute instrumentalisation », insiste-t-elle.

« L’euthanasie clandestine n’est pas une pratique courante en France », rappelle Claire Fourcade, alors que le premier ministre Elisabeth Borne estime de son côté que « la loi actuelle ne règle pas tout ». Citant la promesse de campagne d’Emmanuel Macron (cf. Fin de vie, GPA… : Emmanuel Macron précise son programme en matière de bioéthique), « il nous faudra être très à l’écoute des attentes des citoyens, des parlementaires, du CESE et du Comité national d’éthique », déclare-t-elle.

Un « modèle belge » ?

Les chiffres du dernier rapport officiel de la commission de contrôle belge indiquent que 45 personnes étrangères ont eu recours à l’euthanasie en Belgique en deux ans. Pas de « tourisme de la mort » donc, constate Claire Fourcade.

Par ailleurs, alors que la tribune signée par Olivier Falorni prétend que « l’euthanasie n’a pas empêché l’instauration d’un système de soins palliatifs performants en Belgique », une étude de l’OMS datant de 2020 « montre au contraire une absence d’évolution des soins palliatifs depuis dix ans dans ce pays », pointe le médecin. Et le nombre d’euthanasies y est passé de 200 à 2900 en 20 ans (cf. Euthanasie en Belgique : après 20 ans de dépénalisation, le constat d’un échec).

Le non des soignants

Toujours selon les chiffres de la commission de contrôle belge, « moins de 3 % des médecins acceptent de participer à une injection létale », note Claire Fourcade. Leurs objections « ne sont ni morales ni religieuses, mais relèvent des blessures psychologiques et du stress émotionnel qu’un tel acte engendre, et qui ne peuvent manquer de rejaillir sur leur pratique quotidienne », souligne-t-elle.

Par ailleurs, les soignants mettent en garde contre les « pressions inévitables sur les patients, qu’elles soient sociales, médicales ou familiales ». Et redoutent « l’élargissement constant des euthanasies jusqu’à des patients dont le pronostic vital n’est pas engagé ». Ce qui est le cas en Belgique et ce qui est prévu par la proposition de loi d’Olivier Falorni (cf. Euthanasie : « la ligne d’arrivée de cette course à l’émancipation, c’est l’isolement et la solitude »).

Ainsi, « plus d’une dizaine de sociétés savantes et d’organisations professionnelles se sont exprimées récemment pour dire leur inquiétude face aux velléités de légalisation de l’euthanasie » (cf. Fin de vie : des soignants alertent sur les conséquences « éthiques et déontologiques » d’un changement de la loi). « Représentant près d’un million de soignants (médecins et infirmiers), elles ont la légitimité pour parler en leur nom et n’ont pas besoin que d’autres s’en chargent sans les consulter », s’agace Claire Fourcade. « Les soignants n’ont pas vocation à administrer la mort. »

 

Sources : Le Journal du Dimanche, Claire Fourcade (27/08/2022) ; Femme actuelle, Solène Delinger (28/08/2022)

Ensemble accompagnons la vie – devenez accompagnant bénévole

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dimanche, 21 août 2022 / Publié dans Information

Rejoignez-vous, devenez-vous aussi accompagnant bénévole de personnes atteintes de maladie grave évolutive, de leurs familles et de leurs proches.

« Ensemble accompagnons la vie »

L’accompagnant bénévole : C’est « un témoin, un être humain qui exprime sa solidarité avec un autre être humain, dans le respect des différences et du désir de celui qu’il accompagne » (Société Française d’Accompagnement en soins Palliatifs).

Pour qui intervient l’accompagnant bénévole ?
Pour les personnes malades, les familles, les proches.

Pourquoi intervient l’accompagnant bénévole ? 
Pour offrir une présence chaleureuse et rassurante.
Pour apporter une écoute qui permet de prendre en compte la souffrance psychique, sociale et spirituelle.
Pour échanger, pour ouvrir une fenêtre vers l’extérieur.
Pour aider la personne, par une présence discrète, à vivre la vie jusqu’au bout ; en écoutant ses moments de vie faits de tristesse, d’angoisses, d’espérances, de joies …

Où intervient l’accompagnant bénévole ? 
En établissement de santé – En structure médico-sociale (EHPAD) – Au domicile du patient.

Comment intervient l’accompagnant bénévole ?
Les accompagnants sont sélectionnés et formés par notre association. Aucune expérience préalable nécessaire. Encadrés par un coordinateur, ils participent tous les mois à un groupe de parole animé par un psychologue.

Quelles sont les qualités nécessaires pour devenir accompagnant bénévole en soins palliatifs ?
– Une aptitude à écouter et à s’intégrer au sein d’une équipe
– Le respect du malade, de sa famille, des soignants
– Le respect de la confidentialité des informations recueillies
– Le refus de tout prosélytisme

Pour répondre aux demandes croissantes d’accompagnement des personnes malades et de leurs proches 

Rejoignez-nous ! 

Tel : 06 99 65 36 66 Email : aspbeziers34@live.fr

28ème congrès de la SFAP

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dimanche, 21 août 2022 / Publié dans Evènements

La fin de vie ce n’est pas la mort. Témoignage

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dimanche, 21 août 2022 / Publié dans Témoignages

L’assistance au suicide : la société française face à une transgression majeure

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samedi, 02 avril 2022 / Publié dans Information

LES SOINS PALLIATIFS Une médecine pour accompagner la vie jusqu’au bout

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ASP communication
jeudi, 17 février 2022 / Publié dans Information

Les soins palliatifs, c’est prendre soin de la qualité de vie des personnes gravement malades et de leur entourage, afin de leur permettre de profiter de la vie jusqu’au bout, dans les meilleures conditions possibles, malgré la maladie.

C’est un accompagnement personnalisé qui respecte les besoins de chaque patient et une approche pluridisciplinaire qui vise un meilleur bien-être physique, psychologique, social et spirituel.

Rendez-vous sur https://osonsvivre.fr/

Le plan national développement des soins palliatifs et accompagnement de la fin de vie 2021-2024

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jeudi, 17 février 2022 / Publié dans Information, Legislation

Couvrant la période 2021-2024 le 5ème plan national des soins palliatifs se structure autour d’une feuille de route
dont les 15 actions doivent

  • Augmenter l’offre de soins palliatifs (tant en ville qu’en établissement),
  • Programmer plus précocement les traitements dans le parcours de santé,
  • Développer la formation en soins palliatifs,
  • Soutenir l’expertise et les travaux de recherche et ainsi,
  • Améliorer les connaissances dans ce domaine.

Aux personnes concernées et à leur entourage, l’enjeu prioritaire est de garantir une prise en charge graduée de proximité, coordonnée avec la médecine de ville.

Aux professionnels et aux équipes des EHPAD notamment, il s’agit de leur faire bénéficier, à tout moment et en tout lieu, de l’appui nécessaire et de l’expertise requise en soins palliatifs ainsi qu’en accompagnement de la fin de vie.

Pour cela, les actions conduites par le ministère et deux experts, le Dr Olivier Mermet (généraliste dans l’allier) et le Dr Bruno Richard (responsable du service de soins palliatifs du CHU de Montpellier).

L’objectif est clair : plus un seul département ne doit être dépourvu de structures palliatives à l’horizon 2024.

Cet impératif de l’accès aux soins palliatifs et de l’accompagnement de la fin de vie se conjugue avec les principes qui soutiennent notre système de soins solidaire.
Il importe de garantir, à chaque personne malade ou en fin de vie, d’être soignée au sein de son lieu de vie ou de son lieu de soins, selon ses volontés et en tenant compte de ses besoins. Cela, dans le cadre d’une approche globale et personnalisée et d’une prise en charge davantage anticipée, graduée et coordonnée.
Parce qu’il est essentiel de favoriser la mobilisation d’équipes pluridisciplinaires auprès de la personne et de ses aidants, de décloisonner les secteurs d’intervention, de développer des organisations coordonnées avec le soutien de l’innovation,

la mise à disposition des moyens nécessaires est un engagement fort
 du 5ème plan national pour déployer des actions autour de 3 axes :

  • Favoriser l’appropriation des droits en faveur des personnes malades et des personnes en fin de vie : aborder la question des soins palliatifs, informer de manière claire, fiable et objective pour améliorer les connaissances sur le sujet, c’est permettre à chaque citoyen d’exercer ses droits et d’être pleinement acteur de sa propre fin de vie, de manière éclairée. Parce que seuls 18% des Français déclarent avoir rédigé leurs directives anticipées, des campagnes d’information et de sensibilisation seront menées par le centre national des soins palliatifs et de la fin de vie (CNSPFV), à travers le portail « Parlons fin de vie » et dans le cadre de partenariats
  • Conforter l’expertise en soins palliatifs en développant la formation et en soutenant la recherche : en lien avec le ministère chargé de l’enseignement supérieur, la filière universitaire sera sollicitée pour former les futurs enseignants et la culture palliative, davantage intégrée aux cursus pour favoriser l’acquisition de nouvelles compétences. Par exemple, en développant l’offre de formation continue des professionnels, des personnels soignants (entre autres, des EHPAD) et des aidants non professionnels, mobilisés autour de la personne malade. En outre, des postes d’enseignants hospitalo-universitaires, d’assistants spécialistes « médecine palliative » seront financés ainsi que des années-recherche en soins palliatifs. Car la recherche est, elle aussi, productrice de connaissance et de réflexion. En contribuant à documenter les situations rencontrées, en se nourrissant des expériences entre confrères ou avec d’autres acteurs, elle participe à la diffusion de la démarche palliative et à l’évolution des pratiques soignantes. La plateforme nationale pour la recherche sur la fin de vie, créée dans le cadre du précédent plan national, sera pleinement mobilisée dans la réalisation de cet axe
  • Définir des parcours de soins gradués et de proximité en développant l’offre de soins palliatifs, en renforçant la coordination avec la médecine et en garantissant l’accès à l’expertise : autrement dit, des unités de soins palliatifs seront créées dans les territoires non pourvus et les équipes mobiles de soins palliatifs, renforcées pour assurer leurs interventions au domicile des personnes malades et en soutien des professionnels faisant appel à elles. Par ailleurs, des cellules d’animation de soins palliatifs seront mises en place dans chaque région pour accroître la lisibilité sur l’offre disponible, informer et orienter localement, contribuer au développement de la formation, favoriser les partenariats entre acteurs et leur coordination. De même, l’hospitalisation à domicile (HAD) sera davantage mobilisée. Par ces mesures, le plan national garantira également la permanence de l’accès aux soins palliatifs par le biais d’astreintes dédiées, en coopération avec les professionnels du premier recours : celles-ci pourront s’articuler avec les astreintes gériatriques déjà en place sur le territoire.

L’ASP accompagne depuis 20 ans les personnes en soins palliatifs

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mardi, 04 janvier 2022 / Publié dans Evènements
conférence fin de vie asp

L’association ASP Ouest-Hérault, présidée par Eliane Schwartz, a organisé le 23 septembre 2021 une journée sur le thème de « L’intelligence artificielle et la fin de vie, l’accompagnement de demain ? » pour marquer les 20 ans de son existence.

Que souhaitons-nous pour notre fin de vie ? Quels sont les enjeux éthiques de l’apport de l’intelligence artificielle dans l’accompagnement de la fin de vie ? Quelle place restera-t-il pour l’humain dans l’accompagnement ? Autant de questions et bien d’autres, auxquelles Eric Fiat, professeur en philosophie morale et éthique médicale à l’université Gustave Eiffel, de Paris, a répondu lors de la conférence de ce 23 septembre, au palais des congrès de Béziers.
« Les nouvelles technologies demandent une attention extrêmement vigilante sur les valeurs éthiques qui fondent la société et sur les déontologies des professionnels de santé » a précisé Eric Fiat dans sa conférence.

La conférence a été précédée par des moments d’émotions lors des témoignages de familles, de soignants de l’EMASSP (équipe mobile d’accompagnement et de soutien du centre hospitalier de Béziers) et d’accompagnants bénévoles, en présence du Dr Mounié-Oziol, médecin de soins palliatifs au centre hospitalier de Béziers où elle anime le comité d’éthique et du Dr Diehr, médecin référent de soins palliatifs à la clinique St Privat à Boujan sur Libron.

Un grand merci à tous les accompagnants qui se sont succédés pendant ces 20 années auprès des personnes en soins palliatifs.

Découvrez les vidéos ici

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mercredi, 05 mai 2021 / Publié dans Information

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    Permanence

    Le Lundi de 14h à 16h
    du 1er Septembre au 30 Juin
    Bureau Rez de Chaussée à Perréal

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